lundi 14 mars 2011

Parfum de fleur

- Dis papyglou, tu me racontes une histoire ?



Dacodac, j'ai un peu de temps, sLv



C'est une histoire revenue d'un sablier encore ouvert que ta demande ranime. C'est une histoire aux grains coulant d'une main s'envolant de ses allées et venues aux Soleils triomphants.









Ronde

Dans mon pays, j'avais rencontré un parfum de fleur qui disait qu'il y avait des ciels sans étoile. C'était un regard couvrant les parages de raisons aux pas de ses saisons.











-papyglou !? Tu rêves ?



Oui. C'est tant de souvenirs. Comment comment choisir le premier fil ?














- Stop !



Quoi "stop" ?



- Commence par ta dernière pensée, c'est un bon début, oui ?




Merci. Parce que là, j'étais près d'Orion, du Centaure, de la Licorne quand je reçus une carte postale juste avant ton rappel.

C'était celle d'un frère espagnol, ou brésilien, ou chilien. Je n'ai jamais réussi à savoir ni passé du temps à lui demander.











-papyglouuuu... Tu es encore parti sans moi...



excuse-moi.




C'était la photo d'un pêcheur qu'il avait prise sur la plage d'Adraga. Sa ligne semblait carresser les cieux tandis que là-bas, les dernières couleurs du soleil inondaient d'une paix chantant les roches et l'eau pour des dialogues d'éternités, éphémères salés bonheur.

Je l'avais rejoint avec ma mobylette Google. Je voyais sa place à lui et à lui. Prolongeant la ligne du photographe et de son sujet, je rêvais encore à des horizons colorés aux formes de danses et d'Amériques Latines.


Ce curieux trou, haut, sur la falaise, m'intriguait.

comme un coup de poinçon, un phare inversé.

Plus tard, je tournerai aussi à Easter Island.


Adraga


 


 





Papyglou... Tu sais, même quand tu ne parles pas, c'est bien d'être avec toi.


:) et moi, ie te trouve benbavar pour une main de ventriloque à clop clope café pour tout Bagdad.


- c'est en Iran. En Irak ! :))) On a déjà touché un peu la Turquie, tu te souviens comment que ça a fait avec les ambassadrices(eurs). Ce n'étaient pourtant pas des cruches vides.



Oui.

Elles ont vraiment eu peur de mes mots, pour leurs vies, tu aurais dit.

Faut dire aussi : qui étais-je pour défendre ainsi l'image des derviches dans une religion et une culture auxquelles je ne connaissais rien,

dirait le Jankélévitch,

là où mes mots n'étaient encore que filet naissant aux Calligraphies des Hommes.


 


Bagdad, ça veut dire : " Demeure de la Paix "


Mosimages


 




 




 




 




 




Note en cours d'écriture-ndr-§-ok comme ça, dira-t-on.



ehy ! le goulou in ta tasse ; tu ne m'as toujours pas dit si tu le tournais vers la droite ou vers la gauche...

*








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