vendredi 11 mars 2011

alors ça y est ?

elle a raccroché. clic tchac. 150 fois, avec la confirmation, ce sont 300 clics pour nettoyer, purifier sa page de ma présence.
Des quelques coms d'autrui qui laisseraient supposer que quelqu'un manque.

fff...

Et qu'est-ce que je fais de tout ça maintenant ?
Prendre le temps du limon qui de vase déposée rendra l'eau claire aux souvenirs de haut.
Si un ou une avait tenu face à la pression du groupe, alors je crois que beaucoup de choses auraient été différentes.
Ils auraient peut-être étés amenés à parler enfin de cette chape posée, de cet outil pervers à nuits de malheurs, de régressions, d'étalages de plus en plus habituel de lâchetés que l'on finit par ne même plus remarquer, par ne même plus être choqué.

Avec des si, on mettrait Paris en bouteille.

Peut-on empêcher un poète d'écrire,
un musicien de jouer un chanteur de chanter ?
Peut-on arrêter une fleur qui s'épanouit et contemple le ciel ?
Peut-on arrêter un homme qui marche au fond d'un puits parce qu'il a connu le Soleil
Peut-on empêcher un parfum de grandir jusqu'à n'être plus rien qu'une idée qui passait par là ?

J'aurai aimé mes mots en tes mots s'envolant au monde
J'aurai aimé tes toi mes moi en des pyramides cherchant Soleil
J'aurai aimé ton rire jaillissant fontaine d'éclats à mes rêves naissants
J'aurai aimé le silence des oiseaux planant du bouts des ailes debout au chant
Sol ( mille grains de sel se réunissent mille gouttes mercure magnétisées noir charbon

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