dimanche 13 mars 2011

Ile de Ré

Les bastions sont tombés, se sont révélés, lavés, puis se sont repeins aux fixatifs chimiques des photos mortes, des photos peaux.
C'est une chimère de sépia rose aux oiseaux nés morts des ombres et protégée à ses miroirs cherchant associés désosser l'autre.
Elle se nourrit de ses propres chairs repues à l'extinction des feux alors elle va et vient inquiète en tous mouvements.
Elle a traversée les siècles oh ! ne la réveilles pas ou sa chute te coupe en croupe pour des éducations de toutes beautés.

Ecoute-la c'est une sirène de soie hurlant le soir aux si chants doux comme le dernier souffle d'un homme qui meurt dans le silence des siens.

Les bastions sont tombés, se sont révélés dans la folie d'un génocide organisé de leur propre socle, de leur bel entre-air co-opte butane propane.
Ce sont des errances de damnés parce qu'ils ont coupés leur propre cordon de vie et cherchent en aveugles fous la dernière connexion people yeh !
Sur ce territoire que l'on croirait oublié des Dieux si l'on ne le disait pas,

fff...pause.
Ca vaut pour tout lecteur oh moon cocote.

Au nom du pair
, de mal en pi.


toupigna troupignon oh my trognon bulbus to way way c'est chouette quand t'appuies ça pue M'enfin, ça pue quand même. sans faire  pouêt pouête.



ton corps de larve
morcelé aux souffrances apprises
protégées par tes lois et le nombre de tes toilà, pas là,


ton corps de libellule
aux bubules
humides
risées irisées
qu'un cil si Ré si éclate
à ta naissance d'en monde vierge de Toi

Ta Tam
sers ta branche si fort à la voir brindille dansant au vent
celui qui t'emportera ne le sens-tu pas ?

C'est le vent de l'amour
Ne te l'avais-je pas dit ? Ne te l'avais-je pas écrit sur les bords d'une margelle où j'avais posé un lien aujourd'hui brulé par les raisons des hommes.
Pourquoi toi pourquoi je ne savais pas je savais mon coeur à tes habits du dimanche pour toutes semaines en toutes distances.
Aujourd'hui ?
brrr
fait froid sur la Baltique si je peux me permettre.
C'est la distance d'un fil coupé mon pas impossible en ton jardin serré tous poireaux confondus.
Regarde je trace au ciel de ta cage des huit en attentes infinies tu clignes d'un oeil déjà je suis ailleurs.
Je te rassure tout de suite tu n'es pas la seule si je peux me permettre de te le dire comme à une femme puisqu'ici gisent d'autres sont des hommes ou des femmes ou ou.
J'aurais été ton fou ton mat ton chien des promenades éclairées au soleil de tes yeux.
J'aurais été ce voisin silencieux acceptant de concert les marques silencieuses inscrites en tout respect.
Ici gisent ; d'autres ; frappant ci,
frappant là

ta tam
ta tam

tu ne me dis rien d'autre que ta trique pour tous passages à ta santé tchoue tchoue At'tention >>>bourrique lancée pleine course en face ! >


YARGUELLL !
ze crois que zé vu oune flèche in my coeur plantatione phare'station là, paslàpaslàlàs
parce qu'un coeur c'est pas un fromage que tu coupes en morceaux ça pour lui toi t'auras ça.
N'importe quel abruti sait ça, pas besoin de l'inscrire en dolby stéréo sur des plaques Moïsidales.

Tu veux que je te plonge le front dans le bassin baptismal ou ça ira comme ça ? Ne t'essuie pas, ça va sécher les autres aussi.

Regarde, quelques marches et déjà nous sommes dans l'arène des sages où chacun parle son microtendu tout en voLume H.P. y'a qu'à bouger son corps à tchac et le bruit qui s'arrête en bocal o world a l'épaisseur de cette nuit qui traine dehors, ivre locomotive la fumée fine lame déchirant le ciel et son imprimé d'étoiles aux volontés inri-tissulaires.

Chaque derviche est unique.
Comment ne le saurait-il pas ?
Sinon qu'il se taise de cette voix braille à cons pour toute foufoune.

fdgfdgf

oups ! j'ai failli oublier e mettre le titre de lasimage : "peinture de bovin'yack sur iolie feuille A4 & surimpression virtuelle for chow net touti tam tam doue."

"et pour un pavé dans la mare t'esl'o"

"Requiem pour un Dan disait l'Eri"

"chuttt... on va nous entendre..."

"le poids à la vitre pesait tom tom et na na aussi"

"bouffée à la mentholée ypa ripa !

"l'avion des grandes oreilles n'avait pas de pilote"

"poilu vois-tu l'était du grain de riz"

"petit petit ... petit petit ... 
au pas camarades ! au pas camarades ! au pas au pas au pas ! "

Fumée scrite
Ca déchire au pays des merveilles
bloup bloup ! ici dos fin, à vous cognac'jet priv'
bloup bloup II : " le retour du partir pour de bon matin voir passer les trains "

la wifisblutoutoo, c'est cool : les fakirs se passent de corde à la surface mégascotch  d'e~photographie land'art du 14/03/2010 à 03h08

Si l'api du chapô fait 14 tonnes, combien coûte le peau de la pipe ?
~Eric !
oui oui, ie vais me coucher.

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