vendredi 18 mars 2011

Des armes d'absolu


Des armes d'absolu

Ils avaient des armes qui frappaient en silence.

Ils étaient entrés dans le monde de la pensée et de ses formes comme on entre dans une jungle à l'étroit sentier de leurs connaissances pour toutes bornes, pour toutes cages, se jetant en tubulaires d'égarements hégémoniques, rassurés d'esprits grégaires façonnés multipliés aux Esprits d'Ombres.

Ils ne voulaient pas y croire,
c'était plus simple.
Mille preuves ne les satisfaisaient pas.
Qu'une bombe à pourrir le Monde lâche ses effluves et tu les voyais jacasser partout comme des oies ein zwei : la faute au tsunami ! oubliant du fléau toutes origines.

Que vienne la moindre gène à leur passage, la moindre brindille, la moindre feuille, et leurs machettes tombaient, hachaient, détruisaient sans que plus aucune conscience n'habite leurs bras, son fer en possession d'âme.


Dans la nef des fous, les néons allaient pouvoir se rallumer aux consciences hallucinées de chemins rassurés aux ornières des forges répétitives.




C'était un feu... oh ! une autre fois, sLv

rooo ! j'ai vu la fin de Shining à la Tv. Ce qui fait qu'un moment, j'ai cru l'avoir vu en entier, puis je me suis dis : au fait, pourquoi il boite le pirthékantrop à la hache ? Ben ie sais pas ! Je n'ai donc pas encore tout vu.

Alors si tu veux, je te l'électric à la G.I.JOlympique. Faut que tu imagines le kéké en train de poursuivre un enfant dans un labyrinthe végétal, de nuit, avec des éclairages artificiels. Comme l'espèce de brute à la hache a une patte qui traîne que si tu le lâche dans le désert, il tourne sec en rond, il est moins rapide alors le mino profite de son avance pour reculer sur ses propres traces et se cacher. Je te dis pas la tête du pirthé quand il croit voir que le petio a décollé comme un ange.

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