dimanche 20 mars 2011

Massoud 2


Orage.

De ceux de la plaine italienne, près de Vicenza.


De ceux qui grondent aux éclairs perçant le bleu fondant le noir pour des volumes d'épaisses profondeurs.


De ceux dont nulle goutte ne vient apaiser ton corps tes lèvres engourdis aux sueurs moites salées sculpturales.


De ceux qui ne passent que pour te dire que même eux n'y ont rien changé.

Désert.


une goutte d'eau tombe et me rappelle :


Massoud et "le poème"


" il fait nuit


Nos regards ont les yeux de ceux qui attendent

"

Vous comprenez ? Toi, le Mollah, c'est trop dur pour toi !

rooo ! qu'est-ce que ça m'a fait rire ! Je me suis dis : si là, les gens du Wizzz ne voient pas tout le respect franc, sincère, joyeux, convivial, lucide de l'autre et ouvert à sa différence, l'absence de domination, la fraternité qu'il y a dans ce simple échange : ben ie vais avoir du boulot du kétaf en veux-tu en voila.

" Il fait nuit


Nos regards ont les yeux de ceux qui attendent


Dans la nuit les étoiles scintillent ça et là


Trempé des larmes de peines et de souffrances


Mon lit se trouve comme posé sur des flammes



Un rien devient perle

S'il atteint le courant de ma volonté


A l'image d'un jardin à l'approche du printemps. "

Un rien insignifiant, vous savez, une perle.

Une goutte de pluie qui n'était rien,


quand elle tombe sur une perle,


la goutte devient perle

C'est pareil pour le courage.

Mon courage est une perle.

Un rien rejoint mon courage et devient perle.

 

ici,

ici, les sols sont en feux.

Qu'une goutte se pose,

au simple grain de sable
qu'aussitôt rejoint l'éther des ombres et du silence odieux à nos pères et aux pères des pères de nos enfants et des enfants de leurs enfants

Toi, tu ne crois en rien, même pas en toi.

Que sais-tu du tangible intangible d'une damnation ?

Crois-tu n'y voir qu'une simple vue d'esprit ta science d'eux avalée ?

Un être éveillé passe parmi vous,

combien de fois vous faudra-t-il le tuer ?

Quand bien même il aurait été le plus simplet des hommes.

 

Orage

Qu'une goutte se pose,

pour qu'ausitôt l'épée d'ombre jaillissante

crève le sol en mercure noir où se réunissent mes traces et mes mots

Ecoute ce cri

C'est un cri que je place en proximité d'Eridan,

là où se situe le plus grand vide connu de l'univers.

 

Si tu as une meilleure idée...

 

C'est sans nom

Toute cette censure

Tous ces non-dits

 

à cocoritricoter des néons si stupides de vaines alliances que même les fans les plus convaincus de la guerre Star Wars n'oseraient y croire par peur du ridicule.

Nonon mon cher. Ce n'est pas du mépris que j'ai pour toi. Ca, c'est toi qui le dit.

C'est une tristesse infinie où la pitié que je te porte parfois, par dépit, ne m'octroie que peu de reconfort et en faible durée.



Auto-portrait au monstre dis : "à l'oeil de feu"

J'étais poli chez toi pourtant.

Le problème des nazis, c'est que l'on ne peut rien leur dire.

oh ! t'es polite aussi, c'est sûr : après m'avoir tchacké la gueule, tu me dis ciao par mail.

Alors je vais dire avec cette grande politesse que tu aimes tant et qui certes ne te concerne pas parce que je ne cite pas ton nom à la mode des lâchetés venins de chez vous :

Ciao aussi, saloperie de porcs à merdes.

Massoud




 Ben alors ? 
Pas un roi, pas une reine, même un petit chevalier à essayer de  tirer l'épée Blanchenoir de son rocher du silence ?

C'est dimanche, le touti polite se trouve dans les plus populaires et les bocaux crépitent corrects pourtant.

Hum... hum...
"Voir son ennemi c'est déjà se perdre" disait le Char.
Cela rend aussi visible la stratégie du bouclier et de ses formes.



Quand un être se forge à la matière d'une arme, sa défense s'y forge aussi, et vis & versa, qualités et défauts.

Ci-dessous : cadeau sur blog Omar Tello : j'y fus interdit de parole et de droit de réponse malgré une attaque frontale à la face du monde.
Utilisant les arguments d'une science humaine pour me définir dans ce que le monde occidental considère comme profondeurs de l'être, il y en eut même un pour sous-entendre courageusement qu'en tant qu'humain justement, j'étais nuisible et que je n'étais pas le seul. Personne n'a trouvé à redire de cette affirmation éclairante dans et du bon sens bonnet commun.

samedi 19 mars 2011

Escale in bure


je ne prends pas d'amis à priori.

je ne réponds pas aux tub@mails pour des histoires commencées en public

si tu insistes : JE LES PUBLIE : kapiche ?

Vous n'aviez pas le droit de détruire le blog onecom L + 1 + 15 comme vous l'avez fait.

Sans compter les milliers de coms adjacents présents sur la plateforme
Bienvenue sur cet espace, au Sol de mon Temps.
Eric Martello,

citoyen français de l'Europe de Terre


Ben c'est pasltoulà,
maintenant que le Wizzz a démontré sa capacité à l'arme noire,
je lui laisse la grande liberté de montrer sa grâce à l'arme blanche.
On devrait voir assez vite jusqu'où tu la sors de ton fourreau
touti poilu de la foufoune en escale burne.
Hugh !


vendredi 18 mars 2011

Des armes d'absolu


Des armes d'absolu

Ils avaient des armes qui frappaient en silence.

Ils étaient entrés dans le monde de la pensée et de ses formes comme on entre dans une jungle à l'étroit sentier de leurs connaissances pour toutes bornes, pour toutes cages, se jetant en tubulaires d'égarements hégémoniques, rassurés d'esprits grégaires façonnés multipliés aux Esprits d'Ombres.

Ils ne voulaient pas y croire,
c'était plus simple.
Mille preuves ne les satisfaisaient pas.
Qu'une bombe à pourrir le Monde lâche ses effluves et tu les voyais jacasser partout comme des oies ein zwei : la faute au tsunami ! oubliant du fléau toutes origines.

Que vienne la moindre gène à leur passage, la moindre brindille, la moindre feuille, et leurs machettes tombaient, hachaient, détruisaient sans que plus aucune conscience n'habite leurs bras, son fer en possession d'âme.


Dans la nef des fous, les néons allaient pouvoir se rallumer aux consciences hallucinées de chemins rassurés aux ornières des forges répétitives.




C'était un feu... oh ! une autre fois, sLv

rooo ! j'ai vu la fin de Shining à la Tv. Ce qui fait qu'un moment, j'ai cru l'avoir vu en entier, puis je me suis dis : au fait, pourquoi il boite le pirthékantrop à la hache ? Ben ie sais pas ! Je n'ai donc pas encore tout vu.

Alors si tu veux, je te l'électric à la G.I.JOlympique. Faut que tu imagines le kéké en train de poursuivre un enfant dans un labyrinthe végétal, de nuit, avec des éclairages artificiels. Comme l'espèce de brute à la hache a une patte qui traîne que si tu le lâche dans le désert, il tourne sec en rond, il est moins rapide alors le mino profite de son avance pour reculer sur ses propres traces et se cacher. Je te dis pas la tête du pirthé quand il croit voir que le petio a décollé comme un ange.

mercredi 16 mars 2011

pomme sans nom

Ouiai ! Perso, moi aussi, je fais des expériences. En amateur, je le concède volontiers, et avec des choses beaucoup moins technologiques, j'en conviens aussi. Là, c'est une pomme. D'habitude, quand j'en vois une gâtée, je la prends de suite. Cette fois, j'étais trop faignant et la pourriture a gagné du terrain. Je l'ai bien regardé en face, et hop ! d'une fine aiguille, j'ai percé la peau à un endroit remarquable au kazou ça voudrait couler. Je devais être ému ou je sais pas, sans faire exprès, j'en ai fait un deuxième à côté. Pas de quoi me couper dans mon élan. J'ai ensuite placé la pomme dans un bocal bien lavé et je vais te dire, le joli couvercle vichy bleu, je l'ai bien serré pour qu'un truc comme chez toi ne m'arrive pas. C'est sûr, on est jamais à l'abri d'un accident.

Depuis, j'attends et j'observe.

Cliché du 12/03/2010

-Pourquoi ?

Parce que je suis peintre.

-Mais encore ?

pfff, ça fait du taf là, pas là pas là là

lundi 14 mars 2011

Parfum de fleur

- Dis papyglou, tu me racontes une histoire ?



Dacodac, j'ai un peu de temps, sLv



C'est une histoire revenue d'un sablier encore ouvert que ta demande ranime. C'est une histoire aux grains coulant d'une main s'envolant de ses allées et venues aux Soleils triomphants.









Ronde

Dans mon pays, j'avais rencontré un parfum de fleur qui disait qu'il y avait des ciels sans étoile. C'était un regard couvrant les parages de raisons aux pas de ses saisons.











-papyglou !? Tu rêves ?



Oui. C'est tant de souvenirs. Comment comment choisir le premier fil ?














- Stop !



Quoi "stop" ?



- Commence par ta dernière pensée, c'est un bon début, oui ?




Merci. Parce que là, j'étais près d'Orion, du Centaure, de la Licorne quand je reçus une carte postale juste avant ton rappel.

C'était celle d'un frère espagnol, ou brésilien, ou chilien. Je n'ai jamais réussi à savoir ni passé du temps à lui demander.











-papyglouuuu... Tu es encore parti sans moi...



excuse-moi.




C'était la photo d'un pêcheur qu'il avait prise sur la plage d'Adraga. Sa ligne semblait carresser les cieux tandis que là-bas, les dernières couleurs du soleil inondaient d'une paix chantant les roches et l'eau pour des dialogues d'éternités, éphémères salés bonheur.

Je l'avais rejoint avec ma mobylette Google. Je voyais sa place à lui et à lui. Prolongeant la ligne du photographe et de son sujet, je rêvais encore à des horizons colorés aux formes de danses et d'Amériques Latines.


Ce curieux trou, haut, sur la falaise, m'intriguait.

comme un coup de poinçon, un phare inversé.

Plus tard, je tournerai aussi à Easter Island.


Adraga


 


 





Papyglou... Tu sais, même quand tu ne parles pas, c'est bien d'être avec toi.


:) et moi, ie te trouve benbavar pour une main de ventriloque à clop clope café pour tout Bagdad.


- c'est en Iran. En Irak ! :))) On a déjà touché un peu la Turquie, tu te souviens comment que ça a fait avec les ambassadrices(eurs). Ce n'étaient pourtant pas des cruches vides.



Oui.

Elles ont vraiment eu peur de mes mots, pour leurs vies, tu aurais dit.

Faut dire aussi : qui étais-je pour défendre ainsi l'image des derviches dans une religion et une culture auxquelles je ne connaissais rien,

dirait le Jankélévitch,

là où mes mots n'étaient encore que filet naissant aux Calligraphies des Hommes.


 


Bagdad, ça veut dire : " Demeure de la Paix "


Mosimages


 




 




 




 




 




Note en cours d'écriture-ndr-§-ok comme ça, dira-t-on.



ehy ! le goulou in ta tasse ; tu ne m'as toujours pas dit si tu le tournais vers la droite ou vers la gauche...

*








dimanche 13 mars 2011

Ile de Ré

Les bastions sont tombés, se sont révélés, lavés, puis se sont repeins aux fixatifs chimiques des photos mortes, des photos peaux.
C'est une chimère de sépia rose aux oiseaux nés morts des ombres et protégée à ses miroirs cherchant associés désosser l'autre.
Elle se nourrit de ses propres chairs repues à l'extinction des feux alors elle va et vient inquiète en tous mouvements.
Elle a traversée les siècles oh ! ne la réveilles pas ou sa chute te coupe en croupe pour des éducations de toutes beautés.

Ecoute-la c'est une sirène de soie hurlant le soir aux si chants doux comme le dernier souffle d'un homme qui meurt dans le silence des siens.

Les bastions sont tombés, se sont révélés dans la folie d'un génocide organisé de leur propre socle, de leur bel entre-air co-opte butane propane.
Ce sont des errances de damnés parce qu'ils ont coupés leur propre cordon de vie et cherchent en aveugles fous la dernière connexion people yeh !
Sur ce territoire que l'on croirait oublié des Dieux si l'on ne le disait pas,

fff...pause.
Ca vaut pour tout lecteur oh moon cocote.

Au nom du pair
, de mal en pi.


toupigna troupignon oh my trognon bulbus to way way c'est chouette quand t'appuies ça pue M'enfin, ça pue quand même. sans faire  pouêt pouête.



ton corps de larve
morcelé aux souffrances apprises
protégées par tes lois et le nombre de tes toilà, pas là,


ton corps de libellule
aux bubules
humides
risées irisées
qu'un cil si Ré si éclate
à ta naissance d'en monde vierge de Toi

Ta Tam
sers ta branche si fort à la voir brindille dansant au vent
celui qui t'emportera ne le sens-tu pas ?

C'est le vent de l'amour
Ne te l'avais-je pas dit ? Ne te l'avais-je pas écrit sur les bords d'une margelle où j'avais posé un lien aujourd'hui brulé par les raisons des hommes.
Pourquoi toi pourquoi je ne savais pas je savais mon coeur à tes habits du dimanche pour toutes semaines en toutes distances.
Aujourd'hui ?
brrr
fait froid sur la Baltique si je peux me permettre.
C'est la distance d'un fil coupé mon pas impossible en ton jardin serré tous poireaux confondus.
Regarde je trace au ciel de ta cage des huit en attentes infinies tu clignes d'un oeil déjà je suis ailleurs.
Je te rassure tout de suite tu n'es pas la seule si je peux me permettre de te le dire comme à une femme puisqu'ici gisent d'autres sont des hommes ou des femmes ou ou.
J'aurais été ton fou ton mat ton chien des promenades éclairées au soleil de tes yeux.
J'aurais été ce voisin silencieux acceptant de concert les marques silencieuses inscrites en tout respect.
Ici gisent ; d'autres ; frappant ci,
frappant là

ta tam
ta tam

tu ne me dis rien d'autre que ta trique pour tous passages à ta santé tchoue tchoue At'tention >>>bourrique lancée pleine course en face ! >


YARGUELLL !
ze crois que zé vu oune flèche in my coeur plantatione phare'station là, paslàpaslàlàs
parce qu'un coeur c'est pas un fromage que tu coupes en morceaux ça pour lui toi t'auras ça.
N'importe quel abruti sait ça, pas besoin de l'inscrire en dolby stéréo sur des plaques Moïsidales.

Tu veux que je te plonge le front dans le bassin baptismal ou ça ira comme ça ? Ne t'essuie pas, ça va sécher les autres aussi.

Regarde, quelques marches et déjà nous sommes dans l'arène des sages où chacun parle son microtendu tout en voLume H.P. y'a qu'à bouger son corps à tchac et le bruit qui s'arrête en bocal o world a l'épaisseur de cette nuit qui traine dehors, ivre locomotive la fumée fine lame déchirant le ciel et son imprimé d'étoiles aux volontés inri-tissulaires.

Chaque derviche est unique.
Comment ne le saurait-il pas ?
Sinon qu'il se taise de cette voix braille à cons pour toute foufoune.

fdgfdgf

oups ! j'ai failli oublier e mettre le titre de lasimage : "peinture de bovin'yack sur iolie feuille A4 & surimpression virtuelle for chow net touti tam tam doue."

"et pour un pavé dans la mare t'esl'o"

"Requiem pour un Dan disait l'Eri"

"chuttt... on va nous entendre..."

"le poids à la vitre pesait tom tom et na na aussi"

"bouffée à la mentholée ypa ripa !

"l'avion des grandes oreilles n'avait pas de pilote"

"poilu vois-tu l'était du grain de riz"

"petit petit ... petit petit ... 
au pas camarades ! au pas camarades ! au pas au pas au pas ! "

Fumée scrite
Ca déchire au pays des merveilles
bloup bloup ! ici dos fin, à vous cognac'jet priv'
bloup bloup II : " le retour du partir pour de bon matin voir passer les trains "

la wifisblutoutoo, c'est cool : les fakirs se passent de corde à la surface mégascotch  d'e~photographie land'art du 14/03/2010 à 03h08

Si l'api du chapô fait 14 tonnes, combien coûte le peau de la pipe ?
~Eric !
oui oui, ie vais me coucher.

samedi 12 mars 2011

V'là l'Martello, dis : "le touti polite"

"Comme dans un verre d'eau"

Alors quand et si tu imprimes du Martello sur une belle feuille  A4, par exemple,
tu ne jettes pas ta boite de conserve de p'tis pois carottes que tu as hacheté :
tu la laves et avec 3 élastiques, tu fais un totem bôngôu pascher mon frère.

Sur l'exemple ci-dessus, il s'agit d'une impression sur une de mes peintures.
Le prix (hors boite et élastique et frais d'envoi) est si élevé,
que je crois qu'il ne te reste plus guère qu'à rêver,
ta gueule plus grande que ta bourse.

ti peux mettre une ampoule
avec la boite perçée
sofi tri ioli


artcontrapuntique@freeeeeeeeeeeee.fr

vendredi 11 mars 2011

alors ça y est ?

elle a raccroché. clic tchac. 150 fois, avec la confirmation, ce sont 300 clics pour nettoyer, purifier sa page de ma présence.
Des quelques coms d'autrui qui laisseraient supposer que quelqu'un manque.

fff...

Et qu'est-ce que je fais de tout ça maintenant ?
Prendre le temps du limon qui de vase déposée rendra l'eau claire aux souvenirs de haut.
Si un ou une avait tenu face à la pression du groupe, alors je crois que beaucoup de choses auraient été différentes.
Ils auraient peut-être étés amenés à parler enfin de cette chape posée, de cet outil pervers à nuits de malheurs, de régressions, d'étalages de plus en plus habituel de lâchetés que l'on finit par ne même plus remarquer, par ne même plus être choqué.

Avec des si, on mettrait Paris en bouteille.

Peut-on empêcher un poète d'écrire,
un musicien de jouer un chanteur de chanter ?
Peut-on arrêter une fleur qui s'épanouit et contemple le ciel ?
Peut-on arrêter un homme qui marche au fond d'un puits parce qu'il a connu le Soleil
Peut-on empêcher un parfum de grandir jusqu'à n'être plus rien qu'une idée qui passait par là ?

J'aurai aimé mes mots en tes mots s'envolant au monde
J'aurai aimé tes toi mes moi en des pyramides cherchant Soleil
J'aurai aimé ton rire jaillissant fontaine d'éclats à mes rêves naissants
J'aurai aimé le silence des oiseaux planant du bouts des ailes debout au chant
Sol ( mille grains de sel se réunissent mille gouttes mercure magnétisées noir charbon

jeudi 10 mars 2011

Qui est-il ?

Qu'ais-je au fond de moi ?
Ecrire cela, c'est déjà supposer que tu parles à l'autre. Celui que tu ne connais pas.
Qui est-il ?
Ne serait-ce qu'un objet au creux de ta main ? Serait-ce un Dieu ?
Filament incandescent si vif que tu ne peux regarder et dont tu ne vois que le verre où s'inscrivent les voiles de ses expressions.
Par quel magie, par quel miracle en saurais-tu plus sur lui que sur toi-même ?

Ceux là sont arabes :
voila, comme ça, c'est bien rangé.
Ma p'tite cocote, le problème de "l'autre c'est de la masse",
c'est qu'intellectuellement, il faut bien te ranger toi aussi quelque part et t'y voir.

Ce qui fait qu'au bout de ces siècles des lumières, nous pouvons assister à de grands spectacles pirthékantropaux, relayés à tous niveaux par les médias contemporains.
L'axe du mal
9393 vs Gibbon
j'en passe et des meilleurs
ici la paix s'appelle ferme-ta-gueule

mercredi 9 mars 2011

Bulles dites


Un enfant qui pousse une petite voiture, il est grand comme le conducteur. Le gravier est un rocher, une brindille le tronc d'arbre.
Vous, vous êtes si gros, si lourds, si puissants que vous étouffez tout sous votre passage. Vous goinfrez misérablement ce que vous reconnaissez par habitude de vos répétitions l'inconnu peut crever :  il n'est pas de votre trempe, d'acier, de votre feu hors-contrôle, hors conscience. L'inconnu doit crever puisque c'est vous qui avez raison : la preuve : c'est vous les plus forts. (e)pour les femelles.

Re-p'tou(.
confiture aux cochons-ndr-§°°°

tchõ ! les aurtistes !



samedi 5 mars 2011

psssiii...

Ils ont vu la Lumière d'un homme qui passait là.
Il racontait son chemin.
Ils l'ont tué un à un ils ont créé onecom L

De là s'échappe la Nuit
La nuit de Caïn, la nuit de l'Orient, la nuit précédant matin, la nuit des minuits pile au quart de poil près du pré prêt.
Une nuit parmi tant d'autres.

psssiii...

mim Min-niM

J'ai l'idée d'un blog à rideaux.
Il serait tout blanc de chez blanc, il faudrait un clic de plus pour l'@sélectione & lire.
Il changerait de couleur comme de chemise : clic !
comme une roulette de lunette microscobe  : clic !
comme un faisceau laser à pointer détail en toute tache : clic !
et touti pataticliques
Un visu-blog de porc pour des porcs.
port @ port
En face de Avis de... l'autre côté du trou., là, où les tites chiens d'arfwarf 1 & deux sont allés hachés menu
D'ailleurs, la première pourrait être vert d'eau, si t'oies c'que j'veux dire.

clic !

et t'choue ! c'est là que la conne tchita comme une morue à la tartine de la mairie.
Perso, l'humour me fait souvent rire, j'espère que tu en  apprécies la finesse typo rémora.
li contraire m'ennuierait un peu après tout ce temps passé ensemble et de si co-pieux partages
S.c.ou.f. Grognon : " tu sais bien que je comprends ce que tu dis. Mais faut pas m'emmerder...  "
Des assis s'en souviennent aussi, ceux avec des grappes de raisins pleines les amigokedal's
celles qui caquettent casquettes en tête maquiâges  bâtsonne ein zwei sourire in red live
jurisprudentes en toutes saisons pour toutes raisons surtout pas la leur

m'enfin...
po po po po pom pomme, ie crois que le fil l'est ben tendu là...
les joies de l'asymétrie.

ah ie suis fou !
ah y comprennent pas ce que ie dis !
mon cul oui !


Ils arrivent immenses devant mi.
C'est normal, ils se connaissent mieux que moi.
Sans un mot : just'ene trique
Ils sont tellement gros ces pirthékantrops morcelés que quand tu grattes un endroit, il met des plombes à réunir ses raisons pour arriver à celle qui l'arrange le plus : leurs triques y ont ainsi gagnées moultes lettres de leur noblesse : je ne te dis pas ma collection, tu n'en reviendrais pas.

vendredi 4 mars 2011

Au revoir

j'ai dit au revoir.
Voila.

Personne n'a dit un mot.
Train arrêté, train en marche
qui regarde, qui part

Ca dépend du point de vue.

Sur la vitre, je n'ai pas regardé si la goutte a filé, si la goutte à chaleur du radiateur s'en est évaporée.

Etre au fond d'un puits ou pulvérisé aux étoiles ; quelle différence tant que ta main ne touche le mur ?

Les barreaux étaient trop gros, trop obscènes de leurs lames, de leurs silences. 

La chape si large, si ample, à y perdre le souvenir du moindre rayon de soleil.
Je pars et c'est mon image derrière la vitre que je vois : fantôme d'un homme en train d'écrire, de peindre à l'ombre d'une lumière artificielle où l'été venu quelques papillons s'affolent.

Dehors, une étagère au-dessus de la fenêtre présente tant de pommes si ressemblantes qu'une main ne saurait en choisir une.

Je peux les laisser là.
Un peu.
De temps.

Etagère d'ilL

jeudi 3 mars 2011

Night satin


Dualité.
J'aimerai écrire des mots comme sortis de ma bouche. Des mots graves, des mots en traine o, des mots à ton oreille vibrations tendues.
Ecoute. C'est un mot court. Ecoute : c'est bref en deux temps, deux mouvements de lèvres mes doigts à tes yeux. un étonnement, un baiser au souffle vers tes rêves et leur écrin de soie ; où chaque étoile est Esprit de Lui, de Toi, de moi à Nous que nulle mort ne mord.

Ecoute. C'est un murmure venu du silence d'avant les mondes. C'est un silence effleurant tes songes un ange en caresse apprise d'une eau de douce ivresse en tous cheveux.

Ecoute. c'est le bruit subtil de ton sourire regarde il s'est gravé à coeur de ma peau.

Tu vois, c'est facile d'aimer.

Vous, vous n'aimez pas que des citoyens d'Europe, comme les roms, par exemple, se fassent virer de France. Evidement, vous n'y pouvez rien. Vous râlez et c'est votre impuissance évidente qui se mire de miroirs en miroirs et quoi ! ce n'est pas que votre élu que cela arrange puisque cela se fait devant vos yeux et ceux satisfaits  non-affichés.
Evidement vous n'y pouvez rien.
Comme je n'y peux rien si les frères musulmans enfourchent en masses le veau d'or épousé.
Un one 1 dictateur mon cul oui !
C'est comme deux poumons qui se regardent se mille fibres se cherchent se trouvent et s'illusionne un corps que vie menace l'autre pour un toi ou moi que l'on n'ose croire fatal alors que tant et tant de raisons raclent misères en larmes de sangs le sol prêt à boire encore encore encore

mercredi 2 mars 2011

Art'n'trou

A coups de triques, 1+1+1+... ils ont sculpté le trou de onecom L

mardi 1 mars 2011

Les pieds au sol.

J'ai rêvé rêné d'un ballon.

Un refuge de haute montagne.
Des hommes s'amusent à se jeter dans une ornière de neige et descendent ainsi la pente.
Au moment où ils se retrouvent sur une corniche, le danger de la situation leur apparait :
remonter ou descendre semble terriblement dangereux. Les hommes se fâchent sur la marche à suivre.

Au refuge, un petit dirigeable s'élève pour les rejoindre et les secourir. A peine arrive-t-il à faible hauteur que des vents violents et agités le projettent vers des arbres où les cimes crèvent l'enveloppe et pend la nacelle.

Là, je me réveille.
Puis, je me demande ce qu'il se serait passé si quelqu'un était resté en bas, le tenant captif d'un fil, le retenant, partant avec lui pour des sauts hors-normes : facile : c'est un rêve.

Un rêve vécu en bilocation.
Et ce que cela semble impliquer,
d'exemple concernant  partie empathie.



Si tu imagines une pierre, il est aisé de penser son centre moins dur que l'extérieur.
L'inverse manque de repère.
Aux caresses de tes doigts, un diamant n'en possèderait rien de plus.

Beaucoup d'alchimistes ont cherchés la Philosophale. Je trouve cette quête d'Elixir aux 2, voir trois propriétés loin d'être idiote.

Alors les nazis, eux, ils se regardent touti valoris corpus zizicuicuisses et puis ils... pfff, ras le bol...

Quand je pense qu'ils en avaient rangé un qui disait "je ne cherche pas, je trouve", 
parmi les "dégénérés"...
Même si c'est après qu'il l'ait dit.

liens

angoisse et vérité chez Lacune : réponse à échalié
 http://wizzz.telerama.fr/lacune/blog/724743367
 nota : Lacune se déplace chez échalié