vendredi 29 avril 2011

Ca vache ? Ben wich... et toi ?


Excusez-moi si je délicate le vôtre essen'goûte que la photo elle aurait du être plus contrastée, 
moins grise, plus colorée, moins plus moins du plus en plus à ton plus, mais ! elle est ainsi.

C'est la vue d'un pont où je me plaçais pour la prendre, 
pour la saisir dans la réalité proche où j'étais immergé.
J'aurais pu lever l'objectif au ciel graver  pixels de ces feuilles où dansaient charmes de lumière. J'aurais pu prendre ces canards chamailleurs jouant là, juste à côté.
J'aurais pu saisir cette patate insolite ou ce plastique inerte.
J'aurais pu immortaliser ce ragondin fendant l'eau toutes narines dehors tel crocodile du Nil.
J'aurai pu truc pu pûte encore mais ! 
C'est là et à cet instant et pas un autre que ie cliquâte the look machine.
Cet instant précis et incalculable où le pont se roula sur lui-même pour en donner l'image d'une trace de pas en transparence de l'eau.
Eau ma soeur douce, eau ma vie, danseuse radieuse regarde ! 
eau relief que teinte soleil : 
flux incessant de toi repère de mon  passage marqué aux mouvements de tes houles hallucinantes.

jeudi 28 avril 2011

Tu me fais le livre

Je te parle et tu me fais le livre.

La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n'est aux faits eux-mêmes, parce que, pour elle, se soumettre, ce serait cesser d'être.

Citations de Henri Poincaré
La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n'est aux faits eux-mêmes; parce que, pour elle se soumettre, ce serait cesser d'exister.
Henri Poincaré (1854-1912) 


En 1939 Frida se rend à Paris à la grande exposition sur le Mexique organisée par le gouvernement Cardenas à la galerie Pierre Collé. Elle loge chez André Breton et rencontre les peintres Yves Tanguy, Picasso et Vassili Kandinsky. 
Elle n'aime pas Paris, qu'elle trouve sale, et la nourriture ne lui convient pas ; elle attrape une colibacillose. L'exposition lui déplaît : son avis est « qu'elle est envahie par cette bande de fils de putes lunatiques que sont les surréalistes, elle trouve superflue toute cette saloperie » exposée autour du Mexique. Par-dessus le marché, Pierre Collé refuse d'exposer les œuvres de Frida dans sa galerie, choqué par la crudité des tableaux
Dans une lettre à Louis Murray, elle fait part de son profond dégoût pour les intellectuels parisiens : « ils ont tellement de foutus intellectuels pourris que je ne peux plus les supporter. Ils sont vraiment trop pour moi. J'aimerais mieux m'asseoir par terre dans le marché de Toluca pour vendre des tortillas que d'avoir quoi que ce soit à voir avec ces connards artistiques de Paris… Je n'ai jamais vu Diego ni toi perdre leur temps à ces bavardages stupides et ces discussions intellectuelles. C'est pour ça que vous êtes de vrais hommes et non des artistes minables — Bon sang ! ça valait la peine de venir jusqu'ici juste pour comprendre pourquoi l'Europe est en train de pourrir, pourquoi tous ces incapables sont la cause de tous les Hitler et les Mussolini. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Frida_Kahlo

mardi 26 avril 2011

Réseaux des ombres

C'est terrible de voir l'aveuglement, l'obstination à ne pas percevoir l'autre chez mes contemporains.
Parce que pour eux, l'autre, c'est aussi moi, il me semble.
Je dis que l'on m'a détruit 16 blogs, que le wizzz est constitué de porcs, et on me demande si je lis Pessoa, que ce que je fais est joli, que c'est rigolo de me maraver.
Comment réveiller un être pareil ?
Ils sont nombreux ainsi.
Sur leurs bancs, les discours continuent de fuser en de complètes aberrations, chacun y allant de son avis sur la vie en communauté, la fraternité, l'amour en ce monde, sur ce qu'il faut faire, être, la trique encore chaude de ma censure ou en vision de mon exclusion, de mes cris.
Quelques uns élèvent leurs gueules pour critiquer, émettre des avis  sur les comportements télévisuels d'hommes médiatiques, sans se rendre compte que ce qu'il s'est passé entre nous ne s'est pas passé au bout du monde ou dans les palais de la capitale : ça s'est passé chez eux et avec leur participation collective.

L'utilisation du web leur permet d'installer des réseaux secrets, aptes à satisfaire leurs instincts grégaires. Dès lors, la vie publique où leurs façades sont points d'orgues devient d'une complexité telle que leurs expressions ne sont plus que le résultat de compromis lâches  à minima, coincés à domfe par des positions souterraines qui leurs donnent des forces d'ombres et se passent de  justifications, l'"amitié" en ces réseaux typo castor y pourvoyant par le nombre.

Des êtres totalitaires.
Le signe de ralliement est : c'est beau.
A partir de cette reconnaissance où rien n'est dit, alliance est faite, plus rien ne doit la compromettre, territoire.

The patate on the world



mercredi 20 avril 2011

Schreeeeeeeeeeeeek !

Ils disaient "c'est un monde où nous nous aimons les uns les autres"
Hum... et mon cul, c'est du poulet ?
C'était un jouet entre leurs mains
une boite de conserve


sdf
 homme femme enfant étranger français européen arabe con malin sportif intelligent cause devoir travail fric argent flouse et Dieu dans tout ça ? Plus là débarras force énergie jeunesse beauté 4x4 anti-ride raider traideur raideur traiteur bon pas bon à droite à gauche  y am or y love y am the king.
ok...
mais de quoi comment ?
Roi des rats dans la caverne d'Ali b-a Ba

Qui suis-je ?

et
qui suis-je ?


Cornes de nuit


flammes en flammes
cultures pièges où tu mors
pleines dents pleines griffes encornes
prends et brûles âme traine grammes & collé°
tu m'as pris ainsi soi-il qu'as-tu cru trancher là lu tout cru
ton sol et toi, ton sol et moi, efface l'un efface l'autre,
que reste-t-il mon zamiche ? un trou pignon
as-tu vu ce que j'ai vu le sais-tu
de ton point de vue
si hautain
haut tain de celui
qui dit : rien vu je n'ai entendu
hypocrypte devant l'Eternel athée c'est mieux
pour la brastique de l'élastique en toute proute de la Baltique
ruuu ! reste tranquille la bête : pardonné je t'ai déjà
tes poids là ne sont pas les miens
poils en multispires
non plus

Sitôt envolé tu meurs et retombe sur tes sources à bouffes pleines bourses
Nouvel élan qui ne durera guère plus que le précédent du précédent du précédent
ainsi de suite tant que tu bouffes tu crois que tu avances alors c'est que c'est du bon du bêle

Tu as fait un puits m'y as jeté
De là sort la Nuit
Elle est entrée en toi profonde et nef garantie
Elle est bien plus grande que tes errements psychorigides
Sauras-tu prendre ta chance ?
Je m'appelle 314

C'est parce que vous êtes devenus fous que je suis là

Avec des si, on mettrait Paris en bouteille, ok,
si un seul avait pu parler avec moi,
alors peut-être un autre,
puis un autre,
et puis...

Mets un mot paravent comme "parasite" devant un homme, ok,
explique-toi si tu as raison, et laisse-le répondre :
chez vous, les chambres 404 gaz
sont grandes ouvertes
aux silences
des cris

Ils sont intelligents les nazis,
ça dépend des options sur plateformes.
Il y a ceux qui s'aperçoivent que tu leurs as écrit,
se disent "trop tard, tout le monde a vu"
ils discutent et suppriment
avec parcimonie,
ici où là, 
gardent une insulte,
étalent leurs beaux discours,
piédestal où tu ne peux plus répondre.
Top classe ce meilleur de leur monde.

Y'a les boeuf'tchac

Y'a les distingus modératus,
j'en ai pratiqué, des coms, des coms !
jamais je n'apparaissais le kéké pourtant guidonné
avançait grandement grâce à moi sans un mot
le sens des partages en toutes splendeurs,
agora drapé grand blanc broutilandais,
sans déranger son auguste buste,
mots officiels d'un distingué
à te faire mourir de rire
le plus naze blasé
des polidiplodimates

Y'a les "je fais rien juste je coule le boat, oups ! tu es dedans t'avais qu'à pas être là"
Rooo la bonne bouille toutan courage !
Du psykopath à l'hara-kiri,
c'est drôle on s'marre
 pan dans canard
du chainé°

Y'a les "j'attends un peu demain j'le nique personne verra"
Rooo tropo fort oh libre Seigneur des grandes opignignions !

Y'a les purpor'tchacks

ALors dans ce bref tableau,
il est intéressant d'ajouter leurs thèmes,
leurs mots, ce qu'ils disent à la face du monde.
Quand on te censure sous un avatar qui gueule :
"Artiste censuré par notre gouvernement ! 
Scandale ! Abomination !"
Ca prend de l'épice,
forcément.
Ou, avec la larme à l'oeil :
"Liberté ! Toujours je chérirai ton nom !"
Aie aï aille j'en ai l'oignon qui pleure
Ou : Fraternité ! Partage ! Don !
Ouille là là ma couille
Ou : amour !
et encore et
Paix sur la Terre !
La poésie sauvera le Monde !

oui
mais où ?
Du côté de la tête
ou plutôt de l'autre corpus tranché ?
On dirait que tu t'es ancré à la guillotine d'atavismes
L'est super chouette ton marcel :
j'y ai vu tes bras
à la hache
et
ça te gêne
aux entoufourmures?


vendredi 15 avril 2011

Noir de monde







Aggloméré d'ombres
Roues figées grinçantes
armées & sans parole


Yarkkkkkkkkk !
C'est le cri d'un oiseau blessé de liberté
Celui qui frissonne les prisonniers du sol aux fers
Caressant leurs liens en signes d'exorcismes

Yarkkkkkkkkk !
C'est le cri solitaire au dessus d'une cage oubliée
Etait-ce trop tôt était-ce trop tard ?
Qui sait l'heure du Temps


Cage renversée gisant là sol effondré
Vide comme une mer esprits des vagues
Clapotant entre elles des finitudes rêveuses

Yarkkkkkkkkk !


C'était des morcelés
Des icônes par besoins
Un dieu pour chaque désir
Mille charpies d'incohérences
Leurs raisons sont sans problème
Pour eux, tu m'as compris hein ?
Parce que pour les autres...
Sont au-dessus de ça.

Roue bloquée un char ivre sur sa route tourbillon de toi
vers le haut vers le bas le sais-tu l'as-tu vu ?
Mâte le temps de sa poussière
hier si loin d'ici déjà
penser passé
de rien
roue
ta
look
Atonbelbook



jeudi 14 avril 2011

Départ

Je ne peux pas être là-bas et ailleurs.
Je ne peux pas me taire à ce que je vois.
Je préfère regarder la mer de loin et ses vagues.

mercredi 13 avril 2011

Civilisation

Nous sommes issu de la civilisation du Livre.
Que nous L'ayons accepté ou renié.
Adoré ou combattu.



Chute libre plongeon obscène
Ce corps que tu regardes tomber
Que tu tailles de tes raisons
Recherches de normalité
Toi eux mariage forcé
Mariage divulgué
Lois prècises
à l'identique inhumanité
Chute retour boucle spirale tes pas
Cette Terre qui chute paysage halluciné
Cette planète cet univers qui meurt c'est le tien
Ils crient au partage ! Partage ! Ne savent que prendre
Sous le regard des fous disparaissent des hommes des peuples
Taille haut ! taille haut ! Que font nos chefs ! Lèchent en là tous malins
Ton cul préservé quelques minutes encore c'est bien cela que tu veux oui ?
Ta force de silence est devenue énorme ta capacité à se taire de pair en pairs
A terre tes morts là-bas ce n'est pas de ta faute ilL démocratiques de tes systèmes
Diront tes enfants si sera demain encore ici pour les voir grandir aux secs de ton futur

Regarde !
Leurs terres de libertés multiples à leurs plis !
Ils ont pris détruits violés les mots les images ma pensée en toutes paroles
Regarde leurs mots leurs images au spectacle de leurs ébats !
Ils dansent sur ma pomme et leurs mercenaires tuent
Que je bouge encore un cil en leurs terres
c'est l'arme qui s'abat là
pas là pas
là là
oh ils ne rient plus
tu les vois comme damnés
singes braillards à leurs branches vanités
jeux de cirques où le sang aux gradins coule à l'ennui
où le sang qui coagule tous pores patauge visqueux dans leurs bottes

Ne me touchez pas !
Ne m'approchez pas !

Tu m'as coiffé de l'auréole noire de ta raison
Son éclairage ne peut venir que de toi.

dimanche 10 avril 2011

Les e~fables de l'her.mi.te


Ca perle i-popette t'ché les Pingouins





Les nazis étaient bêtes.
Bêtes et méchants.
C'est le moins que l'on puisse dire.
Ils se sont pris pour un peuple élu sup + +
à Tes souhaits. Dis au - merCi puisque tu es polite bure°
Faut être con hein ? Comme si un peuple pouvait être supérieur à Autre


Lumière sur le tronc


Dormez sables immuables
Chantez les appels du Temps vibrant les airs plus haut que ne sont vos pas
Les hommes ont baissés les rideaux
Vagues de fer liées aux murs édifices cyclopéens
Couloirs rues démentes labyrinthes en jachères
Le vent qui souffle pique les yeux
Je ne vois ici du ciel que la couleur de tes pierres



J'ai fait un rêve.
Tu te rends compte ?
Un rêve rien que pour moi
Car qui d'autre pourrait le direlire ?

samedi 9 avril 2011

Réponse à Télérama et à son groupe de modération parcimonieuse

De : moderationwizzz@telerama.fr
Re: suppression de blog

Bonjour,

reprendre des pages de wizzz sur un serveur privé externe est pour le moins cordiale...

L'équipe de Télérama.fr


Le Wed, 08 Sep 2010 18:41:43 +0200, Martello a écrit:

http://et123.free.fr/coms4/onecom444hp.html

http://et123.free.fr/coms4/onecom444hp2.html


Bonjour aussi,
ça mange pas de pain.

Tout d'abord, merci pour la rapidité de votre réponse écrite puisqu'entre temps, vous avez trouvé le loisir de détruire la quasi totalité de mes blogs présent sur le wizzz.

Ensuite,  puisque vous me renvoyez ces deux liens et que par le passé, vous m'ordonniez de les détruire sous peine de poursuites judiciaires immédiates, je me suis permis de les purifier en espérant que cela vous agrée. Merci de dire. Je ne pense pas être parano, mais comme vous le savez sans doute, "les avocats, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait"

Vous avez de la chance de savoir que vous parlez à Eric Martello parce que l'inverse et plutôt sombre héros.

Il me semble heureux que j'ai pu faire quelques sauvegardes de mon travail afin qu'il ne disparaisse pas totalement, et ce, malgré les innombrables coms, messages, notes, que j'ai pu vous faire parvenir et qui disparaissaient sous votre coupe copulatoire avec la monotonie d'un rameur de galère trisomiquette. Hélas, hélas !  tant de choses furent perdues. Le blog her.mi.te dis "le porte hublot" par exemple, où je fis tant de pages à montrer les chemins d'ombres et de Paix. C'est du travail que de sauvegarder comme un schadock parce que les terres d'accueil sont sans tenue aucune. En tant qu'artiste, je reconnais que je suis parfois léger à ce niveau là.

Concernant ce que vous appelez une charte, je ne vois pas pourquoi vous être fatigué à tant de baratins puisque la dernière phrase, je cite : "Télérama peut suspendre un Wizzz à tout moment, sans mise en demeure", résume très bien toute la situation de vos états d'esprit, si on peut encore appeler ça ainsi.

Continuant d'espérer et rêver  à un minimum de lucidité chez vous,

Cordialement,
Hugh !

Eric

vendredi 8 avril 2011

La case




GOOOOOOAL ! ! !

jouait au but, moi, je marquais.
sLv
En toute transparence.
Tu ne me crois jamais quand je te dis quelque chose,
tu as raison.
Je te l'ai déjà dis.


toupou...toupoue...



jeudi 7 avril 2011

Sirènes de nuit

Il ne fallait pas les regarder.
Il ne fallait pas les écouter.

Leurs voix coulaient des miels à t'engourdir le corps pour mille délices aux glisses subtiles.
Elles te grandissaient en plaisirs succédant t'entêtant l'esprit à percer les cieux jusqu'au bord de leurs cheveux d'ors.
Leurs ondulations étaient si douces que tu en aurais sacrifié ton âme rien que pour les écouter inonder ton coeur une minute encore.

Etaient-elles bêtes ? Etaient-elles stupides ?
Simplement cruelles ?
Rares étaient ceux revenus pour le dire aux hommes.
Rares aussi ceux qui les croyaient sans rire : elles n'étaient pas humaines.



Le mieux qu'il fut permis d'observer furent ici ou là quelques bois de mâts chablis sortant des eaux en mains arrachées, ultimes témoins tragiques de ces marins déboussolés, perdus aux cros des récifs maudits ou emportés dans l'extase noyade d'un dernier rêve, d'une dernière seconde que personne jamais ne saura te raconter.


Certains jours, certaines nuits, est-ce le vent qui pleure ? on entend parfois leurs chants lisser l'air du ciel jusqu'aux étoiles en un frisson qui te coule entier et te raidit dans ta respiration apeurée de son propre bruit, de son propre soulèvement, tandis que leurs chemins continuent par tes pieds les milles fibres de l'eau, jusqu'aux lacs d'altitudes, avalant les nuages pour des contrées récéptives à la folie des veines d'errances. L'autre à côté de toi te dira du même effroi qu'il cru entendre dis mille âmes gémir ensemble dans l'infini des limbes.

samedi 2 avril 2011

Envol


L'enfermement dans un système bâtit par et grâce à la destruction de l'autre en éclaire si ouvertement les contours que les tentatives à rosir les joues y apparaissent comme de si pathétiques caricatures qu'entre rire ou pleurer mon coeur s'est envolé.
Ca ne va pas.
Bâtissant une cage à
Ca ne va pas.
Pschiii ! ! !






' s '

 Tu veux ton inscription au réel d'ici.

Silences Des mots ou des triques.

Quel poème que ton chemin !
Lève les yeux regarde je l'ai rencontré

Il S'est gravé au Ciel de ma mémoire

Comme un grand vide poussières

De l'éternité / Des siècles

Eric - Dan
Eridan
Dan

mon Frère
Esprit de l'Autre


~