dimanche 10 avril 2011

Lumière sur le tronc


Dormez sables immuables
Chantez les appels du Temps vibrant les airs plus haut que ne sont vos pas
Les hommes ont baissés les rideaux
Vagues de fer liées aux murs édifices cyclopéens
Couloirs rues démentes labyrinthes en jachères
Le vent qui souffle pique les yeux
Je ne vois ici du ciel que la couleur de tes pierres



J'ai fait un rêve.
Tu te rends compte ?
Un rêve rien que pour moi
Car qui d'autre pourrait le direlire ?

Aucun commentaire: