jeudi 3 mars 2011

Night satin


Dualité.
J'aimerai écrire des mots comme sortis de ma bouche. Des mots graves, des mots en traine o, des mots à ton oreille vibrations tendues.
Ecoute. C'est un mot court. Ecoute : c'est bref en deux temps, deux mouvements de lèvres mes doigts à tes yeux. un étonnement, un baiser au souffle vers tes rêves et leur écrin de soie ; où chaque étoile est Esprit de Lui, de Toi, de moi à Nous que nulle mort ne mord.

Ecoute. C'est un murmure venu du silence d'avant les mondes. C'est un silence effleurant tes songes un ange en caresse apprise d'une eau de douce ivresse en tous cheveux.

Ecoute. c'est le bruit subtil de ton sourire regarde il s'est gravé à coeur de ma peau.

Tu vois, c'est facile d'aimer.

Vous, vous n'aimez pas que des citoyens d'Europe, comme les roms, par exemple, se fassent virer de France. Evidement, vous n'y pouvez rien. Vous râlez et c'est votre impuissance évidente qui se mire de miroirs en miroirs et quoi ! ce n'est pas que votre élu que cela arrange puisque cela se fait devant vos yeux et ceux satisfaits  non-affichés.
Evidement vous n'y pouvez rien.
Comme je n'y peux rien si les frères musulmans enfourchent en masses le veau d'or épousé.
Un one 1 dictateur mon cul oui !
C'est comme deux poumons qui se regardent se mille fibres se cherchent se trouvent et s'illusionne un corps que vie menace l'autre pour un toi ou moi que l'on n'ose croire fatal alors que tant et tant de raisons raclent misères en larmes de sangs le sol prêt à boire encore encore encore

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