mardi 22 février 2011

Pouvoir / enfin / être / soi / pouvoir/ gorge / serrée / peur / être / rien



Pouvoir et dans ce vouloir chanter les farandoles rêvées des contes en partances d'enfants devenus grands des terres d'extinctions où meurent les fleurs d'incertitudes romancées à l'eau de mort.
Sens à l'aube des renaissances en élans de ces pouvoirs jaillir les haines ces rênes de paradis places réservées l'autre ? Banquette arrière rien à donner rien à soucier des regards en ruts de gavages mornes.
Prend-le retourne-le ce chargé d'âmes qui en retour te donnera à l'offrande des Cieux ces regards aux comptes rendus de tes Viens ! je sais je sais donne moi ta raison que je la mette au clou de mes richesses collectionnées comme des objets en poussières puis en moins que rien si j'ai démissionné vois-tu c'est que tu n'en valais pas ma peine mes petits soucis j'en ai aussi.
Prends cet enfin dans ta main regarde cette mort au bout de ton chemin en courir de vain d'un arrêt programmé et puis quoi ? une plume ou deux dans le cul des aboutis défilant ramages au 14 juillet des non-dits enterrés par les armes de la raison qui dit qui fait que jamais ne meure l'esprit des fers nous sommes tous frères.
Etre cette lettre envoyée aux corps perdus d'ailleurs et c'est comme un ballon l'étiquette pliée pour l'inconnu déjà décrit trifouille instruit comme un mamelle d'abondance grasse de rêves cernés au poil de cul près.
Soi  et son cortège casseroles en babioles d'auto-mariages des branlettes ancestrales. Jute tes mots en salives rondes et croque ta pomme garde deux trois pépins sait-on jamais les cloches qu'ils pourront sonner quand tu les recracheras aux casques des pures façades noires décelées des rats.
POuvoir la musique de l'autre quand elle passe en train de là le la là oh je le connais bien c'est un copieur il fait comme ci il fait comme ça c'est trop facile moi si je ne fais rien que vomir du beau  c'est par respect gardé de mes maîtres assassinés la grâce avec.
Gorge-toi d'oulipo tes peaux s'en aller au devant de tes yeux aux bouts de tes doigts. Chante les raisons d'inversions au miroir de ton âme quand l'autre n'est plus que toi un parfum que tu voulais tenir une deux et c'est molécules d'un jardin labouré d'oublis creusés aux tambours battant pas ça pas ça et d'hagards constellés n'oser qu'en rêve même pas murmuré : qui suis-je ?
Serrée la raison n'en est que fabrique à chimères noires courant volant pillant les mondes sans valeurs des yeux aveugles d'un peuple plus blanc que ses yeux crevés depuis si longtemps qu'ils n'en voient même plus leurs bataillons d'âmes mortes putréfiant leur propres sols en courses de marche ! pourri visqueux tu l'es déjà.
Peur d'hamster les porcs grognent et alors ? Est-ce toi qui les a fait naître à montrer leurs culs en face du monde qu'ils prennent en mains de maîtres en mains de fourches à brasser les humanités en cercueils de raisons ? Qu'as-tu à dire celui-là plus celui-là plus celui-là et tu t'emportes en champs de troupes en champs de rien des numéros sans différence où planent les rances qu'un jour peut-être retournera ce miroir où grossis ils n'étaient plus rien qu'une image vide de coeur et d'être comme de bien entendu.




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